Tanto

  • Arme factice sécuritaire faite de mousse conçue pour le combat de grandeur nature, le cosplay, le théâtre et le cinéma.

    Description

    Le tanto, aussi connu comme le kaiken, était une arme courte faisant partie de l'arsenal traditionnel des samouraïs japonais, de même qu'une arme d'autodéfense. Cette arme de latex peut servir de lame courte pour tout personnage d'inspiration japonaise, tels un noble samouraï, un puissant shogun, un furtif ninja ou un rônin en quête de vengeance.

    Légende

    Les ashigarus défoncèrent la porte de la maison isolée, commençant rapidement à fouiller les lieux en quête de butin à voler au maître des lieux, le samouraï même qui les avait recrutés. C'étaient des déserteurs, des traîtres pires que des brigands. Sachant que le maître des lieux était à la guerre, là même où ils auraient dû être s'ils avaient encore leur honneur, ils avaient clairement jugé que l'endroit était une cible idéale. Ils étaient trois, armés de lances et d'une lourde arquebuse. Ils n'auraient pas pu choisir pire demeure à piller. Dans une tempête de soie et de longs cheveux noirs, la femme du foyer leur sauta dessus dans une savante embuscade. Elle avait observé leur arrivée depuis le début, attendant qu'ils soient distraits par leur avarice pour attaquer par surprise. C'était une femme noble de la caste des samouraïs, une okugatasama. Il était de son devoir de protéger sa demeure contre ces traîtres voleurs. À l'intérieur des murs de sa maison, leurs longues lances étaient encombrantes et maladroites, tandis que son court tanto était agile et rapide comme le vent, en particulier entre ses mains entraînées. Elle n'était pas une colombe vulnérable. Comme les autres femmes de sa lignée, elle avait été entraînée longuement à combattre, justement en préparation d'un moment comme celui-ci. La femme du samouraï bondit à l'attaque, esquivant sans difficulté la pointe de la lance du premier ashigaru avant de contourner sa garde et lui enfoncer sa lame dans le biceps, le flot rouge qui se déversa de la plaie lui indiquant qu'elle avait visé juste. Il tituba brièvement avant de s'effondrer sans mots, exsangue en quelques secondes. La maîtresse du foyer était déjà en train de s'élancer vers le second pillard, lequel se débattait avec son arquebuse avant d'abandonner l'idée de faire usage de sa charge de poudre noire, optant plutôt pour utiliser l'arme comme un lourd gourdin. Elle esquiva au ras du sol, frappant sa cheville de sa dague avant de le pousser de son autre main en se redressant, mettant tout son poids dans le geste soudain. L'homme tituba et tomba à la renverse, incapable de se relever en raison de sa blessure, il ne pouvait plus que ramper et se tordre impuissant.  Le dernier déserteur observa la terrifiante dame un instant avant de simplement prendre ses jambes à son cou, abandonnant ses camarades à leur sort. Avec un calme froid, la femme du samouraï se pencha, ramassa l’arquebuse et, avec le calme d’une chasseresse, elle appuya le canon contre sa fenêtre et fit feu, terminant dans un nuage de fumée le ménage qu'elle avait commencé.
  • Arme factice sécuritaire faite de mousse conçue pour le combat de grandeur nature, le cosplay, le théâtre et le cinéma.

    Description

    Le tanto, aussi connu comme le kaiken, était une arme courte faisant partie de l'arsenal traditionnel des samouraïs japonais, de même qu'une arme d'autodéfense. Cette arme de latex peut servir de lame courte pour tout personnage d'inspiration japonaise, tels un noble samouraï, un puissant shogun, un furtif ninja ou un rônin en quête de vengeance.

    Légende

    Les ashigarus défoncèrent la porte de la maison isolée, commençant rapidement à fouiller les lieux en quête de butin à voler au maître des lieux, le samouraï même qui les avait recrutés. C'étaient des déserteurs, des traîtres pires que des brigands. Sachant que le maître des lieux était à la guerre, là même où ils auraient dû être s'ils avaient encore leur honneur, ils avaient clairement jugé que l'endroit était une cible idéale. Ils étaient trois, armés de lances et d'une lourde arquebuse. Ils n'auraient pas pu choisir pire demeure à piller. Dans une tempête de soie et de longs cheveux noirs, la femme du foyer leur sauta dessus dans une savante embuscade. Elle avait observé leur arrivée depuis le début, attendant qu'ils soient distraits par leur avarice pour attaquer par surprise. C'était une femme noble de la caste des samouraïs, une okugatasama. Il était de son devoir de protéger sa demeure contre ces traîtres voleurs. À l'intérieur des murs de sa maison, leurs longues lances étaient encombrantes et maladroites, tandis que son court tanto était agile et rapide comme le vent, en particulier entre ses mains entraînées. Elle n'était pas une colombe vulnérable. Comme les autres femmes de sa lignée, elle avait été entraînée longuement à combattre, justement en préparation d'un moment comme celui-ci. La femme du samouraï bondit à l'attaque, esquivant sans difficulté la pointe de la lance du premier ashigaru avant de contourner sa garde et lui enfoncer sa lame dans le biceps, le flot rouge qui se déversa de la plaie lui indiquant qu'elle avait visé juste. Il tituba brièvement avant de s'effondrer sans mots, exsangue en quelques secondes. La maîtresse du foyer était déjà en train de s'élancer vers le second pillard, lequel se débattait avec son arquebuse avant d'abandonner l'idée de faire usage de sa charge de poudre noire, optant plutôt pour utiliser l'arme comme un lourd gourdin. Elle esquiva au ras du sol, frappant sa cheville de sa dague avant de le pousser de son autre main en se redressant, mettant tout son poids dans le geste soudain. L'homme tituba et tomba à la renverse, incapable de se relever en raison de sa blessure, il ne pouvait plus que ramper et se tordre impuissant.  Le dernier déserteur observa la terrifiante dame un instant avant de simplement prendre ses jambes à son cou, abandonnant ses camarades à leur sort. Avec un calme froid, la femme du samouraï se pencha, ramassa l’arquebuse et, avec le calme d’une chasseresse, elle appuya le canon contre sa fenêtre et fit feu, terminant dans un nuage de fumée le ménage qu'elle avait commencé.
  • Légende :

    Bien que les katanas soient plus efficaces en combat, certaines situations demandent de armes plus courtes. C’est ainsi que des armes comme le tanto et le wakizashi ont vu le jour. Plus pratique, ces épées pouvaient être camouflées, et pouvaient être utilisées dans des couloirs restreints. De plus, ils n’entravaient pas les mouvements lors de fuites ou d’évasions précipitées. Rarement utilisées comme armes principales, ces épées étaient toutefois souvent utilisées comme arme d’appoint dans un style de combat à deux armes ou lorsqu’un katana était indisponible ou moins pratique.

    Atelier :

    Tanto II est l’évolution naturelle de la première génération de cette arme de la gamme Écuyer. Toujours faite de la sécuritaire mousse Calimacil, l’épée vous procurera des années de bons services grâce à sa durabilité sans précédent. La garde de l’épée est maintenant de couleur acier, tandis que la poignée est brune. La lame reste argentée pour un fini incroyablement réaliste.

    Personnages :

    Les personnages d’inspiration asiatique apprécieront cette arme, qu’elle soit utilisée par un noble samouraï comme arme d’appoint ou par un ninja camouflé, ne pouvant infiltrer l’ennemi avec une arme longue. De plus, les personnages de petite taille, tels les Hobbits ou les Gobelins, peuvent s’en servir comme d’une épée longue, très semblable à un katana.

    Mesures :

    * Poids (g): 270 * Longueur Totale (cm): 56 * Longueur de la lame (cm): 41 * Épaisseur de la lame (cm): 2.5 * Couleur de la lame: Silver * Type de lame: Katana Sharp * Longueur de la poignée (cm): 15 * Longueur de la prise (cm): 14 * Largeur de la garde (cm): 6 * Matériel: fibre de verre, Mousse Calimacil

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