Arme factice sécuritaire faite de mousse conçue pour le combat de grandeur nature, le cosplay, le théâtre et le cinéma.
Description
Cette dague de style main gauche est une arme fantastique en latex pour grandeur nature. Inspirée de la Renaissance, cette dague élégante est agencée avec l’épée du mousquetaire, en faisant une arme secondaire parfaite en combat pour les duellistes et aventuriers
Légende
Dans une tornade écarlate de pur panache, la silhouette agile du spadassin bondit du balcon pour atterrir sur l’épaule de l’immense statue de l’impératrice elle-même, se tenant en équilibre précaire près de cinq mètres dans les airs. Autour du monument, des nobles courtiers et diplomates se mirent à applaudir stupidement, convaincus qu’il s’agissait d’un numéro d’acrobate impromptu. Ils ont toutefois rapidement réalisé leur erreur lorsqu’un groupe de gardes impériaux en armure se sont rués sur ses traces, s’écrasant contre la rambarde du balcon en essayant de le frapper avec leurs hallebardes. Cette personne était clairement une sorte de truand! Sans perdre une seconde, l’audacieux aventurier bondit de son perchoir, utilisant le popotin exagéré de la robe de pierre comme rampe pour amortir sa chute et atterrir dans une pirouette au milieu des courtiers surpris.
Haut sur le balcon, les gardes furent poussés par la forme échevelée et courroucée de l’Impératrice elle-même, hurlant d’indignation et de fierté meurtrie, vêtue tout au plus de sa robe de nuit. »Comment osez-vous?! Personne ne refuse l’Impératrice! Arrêtez cet ingrat! » Son ordre impérieux motiva un groupe de nobliaux pompeux à dégainer leurs rapières et à s’avancer pour appréhender l’insolent. S’excusant à l’avance, le mystérieux aventurier tira une dague et une longue épée agencée, avant de procéder à ruiner aussi bien leurs égos et leurs riches vêtements en leur faisant mordre la poussière, inconscient mais sans une seule coupure malgré les lames acérées maniées par le gentleman. Se tournant vers l’Impératrice avec un sourire moqueur, le duelliste fit une révérence et annonça : ‘’Pardonnez-moi ma chère, mais je préfère aller sans chaînes à ma cheville. Je suis certain que vous trouverez un autre mignon à recruter parmi vos précieux mousquetaires. » Sur ces mots, il prit fuite, s’échappant avant aise à travers les jardins et abandonna la monarque avec une fierté meurtrie et un petit scandale sur les bras.
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